Je me pose Ă une terrasse oĂč la patronne, une jeune quinqua mince qui Ă©coute du jazz, me salue Ă la façon dont on salue ceux que l’on reconnait. Je prends un cafĂ© allongĂ©, mon carnet, mon Ă©ventail…
Un autre bonhomme de bronze. Je sais, je devrais ĂȘtre plus respectueuse et vous parler du sculpteur… Mais j’ai pĂŽ envie.
Je n’ai vu personne qui ne se retourne pas pour le regarder! Je l’adore ce type. Il me fait penser aux « moaĂŻ ».
De retour Ă la maison đ Quelle jolie petite moisson!
J’attends qu’il soit 10h pour aller Ă la bibliothĂšque espagnole, puis chez Mollat, puis au Comptoir Irlandais…
Il fait, plus que chaud…
Un abrazo et prenez soin de vous.